de récents débats politiques pose cette question que l'on peut aborder juridiquement ou moralement.
Chère @barbarapompili si le délit général d'atteinte à l'environnement suppose la démonstration d'une faute INTENTIONNELLE, il s'agirait d'une RÉGRESSION majeure par rapport au droit existant ne permettant plus de poursuivre les pollutions accidentelles (les plus nombreuses). https://t.co/xls4SxsWbl
— Sebastien Mabile (@SebastienM) January 11, 2021
Je n'ai pas été invité au "one planet summit" mais, pour autant, je suis aujourd'hui convaincu comme beaucoup qu'il nous faut changer de regard si l'on veut vraiment aller vers une société "décroissante": nos mentalités sont concernées et celle des économistes ou des responsables politiques. Et c'est bien la difficulté majeure, tant nous sommes structurés mentalement.
Il me semble en particulier évident que cette question de la responsabilité / intention de nuire devrait être abordée du point de vue de l'éthique des conséquences de nos actes, qu'il s'agisse de comportements individuels ou des orientations des organisations, économiques ou politiques. L'intention bonne n'est donc pas suffisante pour juger de la culpabilité ou non.